On connaît maintenant toute la vérité sur le fameux “alien” retrouvé dans le désert

Après quatre années de recherches, l’équipe de scientifiques a trouvé de nouvelles réponses.

Une créature humanoïde mesurant 13 centimètres de long et avec un énorme crâne déformé a été trouvée derrière une église dans une ville abandonnée au milieu du désert, au Chili. 

 Au premier regard, on croirait qu’il pourrait s’agir d’un extraterrestre momifié ou une étrange créature ancienne. 
 
 La créature a été découverte il y a plus d’une décennie et elle a circulé sur le marché noir jusqu’à ce qu’elle se retrouve dans un documentaire sur les OVNIs. 

Surnommée «Ata», la créature a attirée l’attention Garry P. Nolan, un immunologiste de l’Université Stanford.

 
 «J’avais entendu parler de ce spécimen par l’intermédiaire d’un de mes amis, et j’ai réussi à en avoir une photo», raconte le scientifique en point de presse. «Vous ne pouvez pas regarder ce spécimen et penser que c’est inintéressant; c’est assez dramatique.»

Garry P. Nolan a alors contacté les cinéastes derrière le projet documentaire pour leur proposer de faire un séquençage génétique de la créature momifiée. 

Le scientifique s’est entouré d’une équipe d’experts des univertsités de Stanford et de San Francisco pour tenter de trouver des réponses. Il a donc été aidé du Dr Ralph Lachman, professeur de radiologie, du Dr Atul Butte, directeur de l’Institute for Computational Health Sciences et d’autres professionnels du milieu.

 
 Ils ont d’abord découvert que la créature était bel et bien humaine. Et elle était de genre féminin. 

Mais comment expliquer l’étrange forme du crâne, les déformations et le fait qu’elle avait 10 paires de côtes plutôt que 12 paires, comme un être humain normalement constitué? 

Après quatre années de recherches, l’équipe de scientifiques a trouvé de nouvelles réponses. 

 Le petit être humain possédait un mélange de mutations génétiques relié à un trouble qui n’avait encore jamais été documenté chez les humains. 
 
 «L’ADN de la momie a montré des mutations dans sept gènes qui, séparément ou en combinaison, provoquent diverses déformations osseuses, y compris le nanisme et les malformations faciales», explique CTV News.

Les experts ont aussi découvert que l’enfant, probablement mort-né, est morte il y a moins de 40 ans et possède la génétique des Indiens chilotes des montagnes andines du Chili.

 
 Maintenant que l’on sait ce qui est arrivé à Ata, elle pourra être enterrée selon les coutumes de la population locale. 
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