Dans la vie, nous nous retrouvons parfois confrontés à des situations imprévues auxquelles on n’est pas vraiment préparé. Cela peut être l’abandon par un être aimé, la maladie ou la perte d’un proche avec toute la peine que de tels événements infligent que ce soit sur le plan affectif, ou financier.
Le décès d’un proche, une épreuve à surmonter
La perte d’un être cher est considérée comme une source de trouble majeur dans la vie d’un être humain. Cette disparition peut engendrer une perturbation aussi bien sur le plan physique que psychique, notamment, lorsque cet événement tragique touche les personnes âgées qui perdent leur conjoint. Le veuvage peut engendrer des symptômes psychiques tels que le syndrome du « cœur brisé », la dépression ou la souffrance d’un sentiment de solitude. Par ailleurs, des désagréments d’ordre financier peuvent également amplifier ces malaises, notamment, lorsqu’il s’agit d’un héritage de dettes lourd à honorer. Néanmoins, la solidarité de la famille, des amis ou même de personnes charitables, peut apporter soulagement et réconfort ainsi qu’une vision sereine des jours à venir.
Une histoire bouleversante
Pour illustrer concrètement ce cas, nous avons l’histoire d’un vieil homme qui s’appelle Kenneth Smith, dont le cas a intéressé une dénommée Jessica Pittman.
Cette dernière, au volant de sa voiture, l’apercevait qui vendait du bois de chauffage devant sa voiture garée sur le bord de la route. Il était toujours accompagné de sa femme Helen. Cette dernière souffrait d’un cancer du poumon et le couple n’avait pas les moyens de payer les frais des médicaments et des factures onéreuses de l’hôpital, d’où la raison de leur présence sur le bord de cette route, à vendre du bois.
Une année s’est écoulée, et un jour, Jessica Pittman, toujours au volant de sa voiture, aperçoit Kenneth devant sa voiture, vendant du bois, mais cette fois-ci, seul. Sa femme bien-aimée, Helen, était décédée. Dévasté et endetté, Kenneth essayait de payer les factures restantes d’hôpital de sa défunte épouse. Il n’avait pas d’autre choix que de rester là et d’espérer que quelqu’un lui achète son bois.