Blessée, elle écrit une lettre poignante à celui qui lui a fait du mal !

En tant qu’être humain, nous à peu près tous les mêmes réactions, lorsque nous nous sentons blessés par une personne : garder rancune contre la personne.

C’est tout à fait normal d’éprouver du ressentiment envers quelqu’un qui vous a fait du mal, mais si vous parvenez à faire la paix avec vous-même, rétablir une paix intérieure, vous vous ferrez le plus grand bien. C’est ce qu’a compris Catherine Ponder, et elle exprime cela clairement dans cette lettre qu’elle adresse à une personne qui l’a blessé par le passé.

Extrait de la lettre de Catheribe :

«… Même si il y’a de grandes chances que cette lettre ne te parvienne jamais, je t’écris pour te dire que tu m’as fait mal… beaucoup de mal. Mais aujourd’hui j’ai enfin compris que quelque part, je devais arracher ce profond chagrin encré en moi, et c’est ce que je vais faire ».

Blessée, elle écrit une lettre poignante à celui qui lui a fait du mal !

«… Je me méfie de la rancœur car elle n’engendre que de la peur et c’est précisément ce que je dois faire disparaître. Mais ce n’est pas de toi que j’ai peur, ce dont j’ai peur c’est de refaire la même erreur et de revivre cette souffrance encore une fois».

«… J’ai donc décidé d’y faire face, car si je parviens à vaincre cette peur, je serai capable de vaincre toutes les autres. Même si je n’oublierai jamais cette douleur insupportable, elle m’a tout de même permis d’apprendre quelque chose : J’ai appris qu’on ne peut pas donner à quelqu’un quelque chose qu’il ne veut pas recevoir ».

 «… Je t’écris pour te dire qu’à partir d’aujourd’hui, je ne te tiens plus aucune rancune. Comme le dit si bien le proverbe, la vraie haine est le désintérêt… Or je n’ai pas besoin de grand-chose pour me sentir bien dans la vie et c’est exactement pour ça que je dois évacuer toute cette douleur. J’ai enfin compris qu’encombrer son cœur de sentiments inutiles ne sert à rien et que toute expérience douloureuse renferme en elle une graine de croissance et une libération ».

«… En réalité, cette lettre n’est pas pour toi, elle est pour moi, car je dois me libérer de ce fardeau. Je dois me libérer de cette négativité dans ma vie et je me suis rendue compte que réfléchir sur toi était le plus grand acte d’amour-propre que je puisse mener à bien ».

«… Aujourd’hui, je peux réellement te dire merci, car grâce à toi, maintenant, et plus que jamais, Je m’aime ! »

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