Notre histoire se passe dans le Var quand les motards ont fait parler d’eux en tabassant un vieil homme accompagnant son petit-fils de 3 ans.
Jean-Luc Del Nero s’est fait frapper par ces derniers alors qu’il venait de récupérer son petit à l’école de Grimaud et il allait chercher son autre petit-fils.
D’après ses paroles, il a emprunté le chemin Saint-Joseph en voiture quand il a croisé la route de 7 ou 8 motos à contresens. En passant, c’était une voie à sens unique.
Pour laisser les motos passer sur la route étroite, Nero se mit sur le bas-côté puis, avec sa fenêtre ouverte, il leur a dit qu’ils étaient à contresens.
C’est ainsi que le vieil homme a reçu un premier coup de poing. Lorsqu’il a dit qu’il allait porter plainte, les motards lui ont asséné plusieurs coups.
Selon les paroles de la victime, ils se sont mis à garer leur moto et l’arrachèrent de la voiture. Il reçoit ensuite plusieurs coups.
Aussi, il y avait plusieurs témoins sur les lieux, mais personne n’a levé le petit doigt pour lui venir en aide.
Il avait l’impression d’être dans un terrible cauchemar.
Les délinquants ne se sont arrêtés que lorsqu’ils ont remarqué la présence du petit-fils dans la voiture.
D’après les faits, c’est surement sa présence qui…
D’après les faits, c’est surement sa présence qui lui a sauvé la vie au final. Par contre, Jean-Luc s’est retrouvé avec des hématomes sur tous le corps et cela du tibia à la tête.
Selon ses médecins, il avait un hématome à la cuisse droite et sur la pommette droite, une plaie du tibia droit, une douleur occipitale et une contusion de la fesse droite. Pour compléter le tout, il avait les lunettes cassées avec la plus grande peur de sa vie.
La plus étonnante dans cette histoire est que sa plainte contre ses agresseurs à la gendarmerie de Grimaud a été refusée par ses derniers.
Par ailleurs, il ne comptait pas rester là et il a donc écrit un courrier au ministère de l’Intérieur. Selon ses écrits :
« quand des milliers de bikers débarquent dans le Golfe, j’estime qu’il faut des moyens de sécurité adéquats. Ils n’ont pas à circuler, ni à se garer n’importe où et encore moins s’ils sont sous l’emprise de l’alcool. Nous avons des droits nous aussi ».